L'Arabe du futur, une jeunesse au Moyen-Orient (1978-2011) est une série de bande dessinée en six tomes, écrite et dessinée par Riad Sattouf.
Vendue à plus de 3 millions d'exemplaires et traduite en 23 langues, elle raconte l'enfance et l'adolescence de l'auteur, fils aîné d'une mère française et d'un père syrien. L'histoire nous mène de la Libye du colonel Kadhafi à la Syrie d'Hafez Al-Assad en passant par la Bretagne, de Rennes au cap Fréhel.
Ce sixième tome couvre les années 1994-2011. C'est le dernier tome de la série.
Né en 1978 d'un père syrien et d'une mère bretonne, Riad Sattouf grandit d'abord à Tripoli, en Libye, où son père vient d'être nommé professeur. Issu d'un milieu pauvre, féru de politique et obsédé par le panarabisme, Abdel-Razak Sattouf élève son fils Riad dans le culte des grands dictateurs arabes, symboles de modernité et de puissance virile.
En 1984, la famille déménage en Syrie et rejoint le berceau des Sattouf, un petit village près de Homs. Malmené par ses cousins (il est blond, cela n'aide pas...), le jeune Riad découvre la rudesse de la vie paysanne traditionnelle. Son père, lui, n'a qu'une idée en tête : que son fils Riad aille à l'école syrienne et devienne un Arabe moderne et éduqué, un Arabe du futur.
L'Arabe du futur sera publié en trois volumes. Ce premier tome couvre la période 1978-1984.
Dans ce nouvel album, on découvre une nouvelle Esther : la lycéenne !
Pouviez-vous imaginer Esther bravant l'interdiction de ses parents pour aller en soirée ? Libre dans les rues de Paris à l'heure du déjeuner ?
Hé oui, Esther est en seconde. Les cours sont souvent en demi jauge, COVID oblige. Les garçons sont de plus en plus intrigants, certains « fument de la drogue » et d'autres même sont « dealers », c'est à dire qu'ils en revendent... Mais ils sont toujours très cons, ça c'est sûr.
Esther se pose de plus en plus de questions. Pourquoi les garçons sont-ils autant fascinés par l'attitude criminelle? Pourquoi les insultes dégradantes sont féminines? Pourquoi y a-t-il des racailles même dans les petits patelins bretons? Qui s'occupe du problème majeur que représentent les garçons pour les filles, en fait? Et puis un jour, le vaccin contre le Covid finit par arriver, mais est-il bien sûr? Ses copines en doutent... Et si tout cela n'était qu'un grand complot? Comment savoir ce qui est vrai ou pas?
Esther doit choisir ses « spécialités » pour la première. Il faut penser à son orientation, à son futur métier. Mais euh, on est vraiment obligé de travailler plus tard en fait? Et pourquoi il faut se décider maintenant? Esther grandit, elle va traverser la France seule en train, et c'est toute une odyssée, un chemin initiatique qui s'ouvre à elle, une métaphore de la vie adulte qui l'attend. Ou alors, peut-être que c'est juste une grosse galère?
C'est ça avoir 16 ans !
LA SÉRIE :
La série Les Cahiers d'Esther a été initiée par Riad Sattouf en 2015 avec une idée un peu folle : se faire le porte-voix d'une jeune fille d'aujourd'hui pour assister, année après année, à ses transformations, et montrer l'évolution de notre société à travers ses yeux.
Chaque semaine, la jeune fille anonyme qui se cache derrière Esther se confie à Riad Sattouf. Elle lui raconte son quotidien, ses états d'âme, sa vision du monde. Riad Sattouf les met ensuite en mots et en images pour composer une planche de bande dessinée, prépubliée dans L'Obs. Les planches correspondantes à une année scolaire sont réunies en albums.
Histoires d'enfants pas forcément pour les enfants, témoignage sur notre époque. Le lecteur embarque pour un voyage quelque peu agité : suivre, pendant neuf ans, les métamorphoses d'une enfant en adulte.
La série Les Cahiers d'Esther est adaptée par Riad Sattouf en dessin animé. Les trois premières saisons ont été diffusées sur Canal+ et sont disponibles sur YouTube.
L'Arabe du futur raconte la jeunesse de Riad Sattouf au Moyen-Orient. Dans le premier tome publié en 2014 et qui couvre la période 1978-1984, le petit Riad est ballotté, de sa naissance à ses six ans, entre la Libye, la Bretagne et la Syrie. Le deuxième tome, paru en 2015, raconte sa première année d'école en Syrie (1984-1985).
Dans ce troisième tome (1985-1987), après avoir suivi son mari en Libye puis en Syrie, la mère de Riad ne supporte plus la vie au village de Ter Maaleh. Elle veut rentrer en France. L'enfant voit son père déchiré entre les aspirations de sa femme et le poids des traditions familiales...
Né d'un père syrien et d'une mère bretonne, Riad Sattouf raconte dans L'Arabe du futur sa jeunesse au Moyen-Orient.
Dans le premier tome (1978-1984) le petit Riad était balloté entre la Libye, la Bretagne et la Syrie. Dans ce second tome, qui couvre la première année d'école en Syrie (1984-1985), il apprend à lire et écrire l'arabe, découvre la famille de son père et, malgré ses cheveux blonds et deux semaines de vacances en France avec sa mère, fait tout pour devenir un vrai petit syrien et plaire à son père.
La vie paysanne et la rudesse de l'école à Ter Maaleh, les courses au marché noir à Homs, les dîners chez le cousin général mégalomane proche du régime, les balades assoiffées dans la cité antique de Palmyre : ce tome 2 nous plonge dans le quotidien hallucinant de la famille Sattouf sous la dictature d'Hafez Al-Assad.
Âgé de neuf ans au début de ce volume, le petit Riad devient adolescent. Une adolescence d'autant plus compliquée qu'il est tiraillé entre ses deux cultures - française et syrienne - et que ses parents ne s'entendent plus. Son père est parti seul travailler en Arabie saoudite et se tourne de plus en plus vers la religion... Sa mère est rentrée en Bretagne avec les enfants, elle ne supporte plus le virage religieux de son mari. C'est alors que la famille au complet doit retourner en Syrie...
Dans le premier tome (1978-1984), le petit Riad était ballotté, de sa naissance à ses six ans, entre la Libye de Kadhafi, la Bretagne de ses grands-parents et la Syrie de Hafez Al-Assad. Le deuxième tome (1984-1985) racontait sa première année d'école en Syrie. Le troisième tome (1985-1987) était celui de sa circoncision. Ce quatrième tome, exceptionnel par son format (288 pages) et par ce qu'il révèle (le coup d'État de son père), est le point d'orgue de la série.
Le cinquième tome du succès mondial L'Arabe du futur couvre les années 1992-1994.
Riad Sattouf y raconte son adolescence.
Dans ce cinquième tome, Esther a 14 ans. Elle apprend à danser le floss, commence à s'intéresser à la politique (juste un peu), s'entraîne à dire je m'en balek en espagnol grâce à Nacho son correspondant, a un petit ami nommé Abdelkrim et, évidemment, écoute Angèle.
LA SÉRIE La série Les Cahiers d'Esther a été initiée par Riad Sattouf en 2015 avec une idée un peu folle : se faire le porte-voix d'une jeune fille d'aujourd'hui pour assister, année après année, à ses transformations, et montrer l'évolution de notre société à travers ses yeux.
Chaque semaine, la jeune fille anonyme qui se cache derrière Esther se confie à Riad Sattouf. Elle lui raconte son quotidien, ses états d'âme, sa vision du monde. Riad Sattouf les met ensuite en mots et en images pour composer une planche de bande dessinée, prépubliée dans L'Obs. Les planches correspondantes à une année scolaire sont réunies en albums.
Histoires d'enfants pas forcément pour les enfants, témoignage sur notre époque. Le lecteur embarque pour un voyage quelque peu agité : suivre, pendant neuf ans, les métamorphoses d'une enfant en adulte.
En France, les trois premiers albums ont été adaptés en série animée sur Canal +. À voir et à revoir sur MyCanal et la chaîne YouTube des Cahiers d'Esther.
Riad Sattouf continue de croquer l'adolescence comme nul autre. ELLE Un magnifique ethnographe de la vie ordinaire. Libération Le nouveau Petit Nicolas ! Europe 1
Esther entre en troisième ! C'est l'année de ses 15 ans.
Elle est en couple avec Abdelkrim (c'est privé, désolé), se paie des délires de ouf avec ses meufs Éva et Léa, se prend la tête avec des redoublantes trop féminines, organise sa première grande soirée d'anniversaire (avec de l'alcool, oui de l'alcool), expérimente la cigarette et crée (enfin) son profil Instagram, qui attire immanquablement les psychopathes.
Puis tout est chamboulé par l'arrivée du coronavirus, qui était censé être une grippette... C'est le confinement. Entre ses cours en visio, son père stressé par la pénurie de masques et de gel hydroalcoolique, sa mère en télétravail et son frère complotiste fan de Didier Raoult, le quotidien d'Esther est bouleversé... Mais pleine d'optimisme, elle imagine son «?monde d'après?».
LA SÉRIE :
La série Les Cahiers d'Esther a été initiée par Riad Sattouf en 2015 avec une idée un peu folle : se faire le porte-voix d'une jeune fille d'aujourd'hui pour assister, année après année, à ses transformations, et montrer l'évolution de notre société à travers ses yeux.
Chaque semaine, la jeune fille anonyme qui se cache derrière Esther se confie à Riad Sattouf. Elle lui raconte son quotidien, ses états d'âme, sa vision du monde. Riad Sattouf les met ensuite en mots et en images pour composer une planche de bande dessinée, prépubliée dans L'Obs. Les planches correspondantes à une année scolaire sont réunies en albums.
Histoires d'enfants pas forcément pour les enfants, témoignage sur notre époque. Le lecteur embarque pour un voyage quelque peu agité : suivre, pendant neuf ans, les métamorphoses d'une enfant en adulte.
La série Les Cahiers d'Esther est adaptée par Riad Sattouf en dessin animé. Les deux premières saisons ont été diffusées sur Canal+ et sont disponibles sur YouTube.
Chaque planche, prépubliée dans L'Obs, met en scène une anecdote réelle racontée à Riad Sattouf par la vraie Esther (une véritable petite fille dont le prénom a été changé). Un recueil sera publié chaque année, jusqu'aux 18 ans d'Esther.
Dans ce troisième tome, Esther entre en sixième ! L'élection présidentielle, son premier téléphone portable, Manuela son hamster, l'arrivée de l'acné, son frère complotiste, son père mélenchoniste, sa mamy lepéniste, le président Macron l'Illuminati ou son amour pour la galette saucisson-abricot... Esther grandit, c'est l'année de ses 12 ans !
Les Cahiers d'Esther sont écrits d'après les histoires vraies racontées chaque semaine à Riad Sattouf par une véritable écolière, Esther A. Chaque album comprend 52 histoires, pour les 52 semaines de l'année. Le projet de Riad Sattouf est de suivre la vie d'Esther de ses 10 ans jusqu'à ses 18 ans, au rythme d'un album par an.
Dans ce deuxième tome, Esther est en CM2. Elle raconte la naissance de son petit frère, les attentats, les garçons dont elle est amoureuse, les discussions sur Dieu avec sa meilleure amie, sa maîtresse naine, sa mère qui a grossi, son grand frère débile et son père ce héros... C'est l'année de ses 11 ans !
La rencontre entre un auteur majeur de la bande dessinée et un éminent spécialiste des questions énergétiques et de l'impact sur le climat a abouti à ce projet, comme une évidence, une nécessité de témoigner sur des sujets qui nous concernent tous. Intelligent, limpide, non dénué d'humour, cet ouvrage explique sous forme de chapitres les changements profonds que notre planète vit actuellement et quelles conséquences, déjà observées, ces changements parfois radicaux signifient.
Jean-Marc Jancovici étaye sa vision remarquablement argumentée en plaçant la question de l'énergie et du changement climatique au coeur de sa réflexion tout en évoquant les enjeux économiques (la course à la croissance à tout prix est-elle un leurre ? ), écologiques et sociétaux. Ce témoignage éclairé s'avère précieux, passionnant et invite à la réflexion sur des sujets parfois clivants, notamment celui de la transition énergétique.
Christophe Blain se place dans le rôle du candide, à la façon de son livre "En cuisine avec Alain Passard" et de "Quai d'Orsay" signé avec l'expertise d'un coauteur : un pavé de 120 pages indispensable pour mieux comprendre notre monde, tout simplement !
Après La Vie secrète des jeunes, la nouvelle chronique de notre époque par Riad Sattouf, prépubliée dans L'Obs.
Écrits d'après les histoires vraies d'Esther A.*, Les Cahiers d'Esther nous plongent dans le quotidien d'une fille de 10 ans qui nous parle de son école, ses amis, sa famille, ses idoles.
Que sont Tal, Kendji Girac ou bien les têtes brûlées ?
Quels sont les critères de beauté que doivent avoir les garçons et les filles pour être populaires ? Comment fait-on quand on a des copines plus riches que soi ?
Qu'est-ce que le petit pont massacreur ?
Comment les attentats du 7 janvier ont-ils été vécus dans la classe d'Esther ?
Comment faire quand on a peur d'avoir des gros seins ?
En cinquante-deux pages qui sont autant de saynètes sur un thème à chaque fois différent, Esther nous raconte sa vie et son époque. Ce qu'elle ne dit pas à ses parents, elle le raconte dans ce journal intime, tour à tour drôle et émouvant, tendre et cruel : un portrait de la jeunesse d'aujourd'hui et un miroir de notre société.
*Les noms des vraies personnes ont été modifiés !
C'est la fête à Montcoeur ! Le maire a décidé d'organiser un « pique-nique de l'amitié et du vivre-ensemble ». Hélas, le vivre-ensemble a du plomb dans l'aile, ou plutôt un pic à brochette dans les fesses. Celles du maire, en l'occurrence, victimes d'une agression de Berthe, l'ancienne amante de Mimile.
La fête est donc de courte durée, d'autant qu'on apprend bientôt la mort d'Armand Garan-Servier, le patron de l'entreprise qui porte son nom.
À son décès s'ajoutent d'ailleurs plusieurs incendies inexpliqués qui ne font qu'attiser les tensions déjà palpables dans le village...
De son côté, à Paris, Antoine participe à la manifestation du 1er mai, où il s'oppose à la violence d'un militant des « black blocs », avant de se retrouver à l'hôpital après une charge policière musclée. Et il n'est pas au bout de ses peines...
L'événement lui vaut également une empoignade avec Pierrot, venu lui rendre visite. Un accrochage symbolique, qui témoignerait presque de l'impossible réconciliation au sein de la grande famille de la gauche...
Lupano et Cauuet signent un nouvel épisode jubilatoire des Vieux Fourneaux, une série qui concilie engagement social affirmé et conscience politique éclairée, le tout servi par un humour joyeux et un humanisme contagieux.
Par-dessous la peinture, le plâtre et le ciment, à l'intérieur des murs, au fond de l'invisible, je perçois quelque chose que j'arrive pas encore à nommer, quelque chose de foutrement féroce qui habite le bâtiment tout entier et qui me rentre dans les os. Qui fera bientôt partie de moi. Ici ne ressemble à nulle part. Ici n'obéit qu'à ses propres règles. Ici, il y a des Bas, des Hauts, des pairs et des impairs.Et quoi qu'il arrive, tout le monde passe par Ici.
La famille Pelletier : trois histoires d'amour, un lanceur d'alerte, une adolescente égarée, un journaliste ambitieux, une mort tragique, le chat Joseph, une épouse impossible, un sale trafic, une actrice incognito, une descente aux enfers, cet imbécile de Doueiri, un accent mystérieux, la postière de Lamberghem, le retour du passé, un parfum d'exotisme, une passion soudaine et irrésistible. Et quelques meurtres.Après sa remarquable fresque de l'entre-deux-guerres Les Enfants du désastre, Pierre Lemaitre nous propose une plongée tumultueuse dans les Trente Glorieuses.L'auteur remonte le temps à travers la vie extraordinaire de héros ordinaires. Une flamboyante comédie humaine. Le Figaro magazine.On retrouve l'ironie permanente, le verbe provocateur, l'art du portrait clair-obscur, et l'énorme appétit de fiction. Réjouissant. Lire.Pierre Lemaitre est un conteur oblique, qui prend l'époque de biais, et qui lui colle un turbo. L'Obs.Un régal encore et toujours. Le Parisien week-end.
En 2023, Mortelle Adèle retrouve ses camarades !
Et pour fêter ça, elle t'ouvre en grand les portes de son Club des Bizarres, un livre dans lequel chaque enfant pourra célébrer ses différences et ce qui le rend mortel !
Le journal des Bizarres, c'est tout l'univers de Mortelle Adèle avec au menu : 20 planches de bd inédites, 160 pages d'activités mortelles pour explorer et affirmer sa personnalité, une plongée immersive dans l'univers de ton héroïne préférée !
Le journal des Bizarres, c'est aussi :
- Un livre pour s'amuser.
- 20 planches de BD inédites.
- Un objet pour expérimenter.
- Un refuge pour s'affirmer.
Rends-le unique, comme TOI !
En 2018, Diégane Latyr Faye, jeune écrivain sénégalais, découvre à Paris un livre mythique, paru en 1938, Le Labyrinthe de l'inhumain. On a perdu la trace de son auteur, T.C. Elimane, disparu depuis le scandale que déclencha la parution de son texte. Fasciné, Diégane se lance sur la piste de celui qu'on surnommait le « Rimbaud nègre ». Du Sénégal à la France en passant par l'Argentine, quelle vérité l'attend au centre de ce labyrinthe ?
Tout en menant cette quête qui l'accapare, Diégane, fréquente un groupe d'auteurs africains en exil, et rencontre deux femmes remarquables : la sulfureuse Siga, détentrice de secrets, et la fugace photojournaliste Aïda...Son inventivité, son audace et l'intransigeance de sa langue font de ce livre, qui confronte nécessités de vivre et d'écrire, une déclaration d'amour à la littérature. Laëtitia Favro, Lire.Un joyau de savoir-faire qui vous enchante. Marianne Payot, L'Express.Ce roman vous emporte comme un fleuve en cru. Bruno Corty, Le Figaro littéraire.PRIX GONCOURT 2021.PRIX TRANSFUGE DU MEILLEUR ROMAN DE LANGUE FRANÇAISE 2021.
Ça y est, Esther est ado !
Son appareil dentaire ; #BalanceTonPorc ; ses rêves barrés ; Folla la folle , Ben, son petit ami secret ; xxxTentacion ; ses copines ; sa famille... Dans ce quatrième tome Esther a 13 ans, est en cinquième et entre dans l'adolescence.
LA SÉRIE La série Les Cahiers d'Esther a été? initiée par Riad Sattouf en 2015 avec une idée un peu folle : se faire le porte-voix d'une jeune fille d'aujourd'hui pour assister, année après année, à ses transformations, et montrer l'évolution de notre société? à travers ses yeux.
Chaque semaine, la jeune fille anonyme qui se cache derrière Esther se confie à Riad Sattouf. Elle lui raconte son quotidien, ses états d'âme, sa vision du monde. Riad Sattouf les met ensuite en mots et en images pour composer une planche de bande dessinée, prépubliée dans L'Obs.
Les planches correspondantes à une année scolaire sont réunies en albums.
Histoires d'enfants pas forcément pour les enfants, témoignage sur notre époque : le lecteur suit, pendant neuf ans, les métamorphoses d'une enfant en adulte.
En France, les trois premiers albums ont été adaptés en série animée sur Canal + À voir et à revoir sur MyCanal et la chaîne You Tube des Cahiers d'Esther.
Riad Sattouf continue de croquer l'adolescence comme nul autre. ELLE Un magnifique ethnographe de la vie ordinaire. Libération Le nouveau Petit Nicolas ! Europe 1 Prix Max und Moritz 2018, prix de bande dessinée le plus ancien et le plus prestigieux du monde germanophone.
« Que ce soit pour faire enrager mes parents, torturer mon stupide chat, lutter contre Jade et ses copines ou briser le coeur de Geoffroy... j'ai toujours une idée intéressante ! » Une bonne dose d'humour noir et un soupçon de tendresse, voici la recette d'Adèle, une héroïne d'un nouveau genre... Accrochez votre ceinture, ça va déménager !
© Mr Tan / Miss Prickly
N'allez pas embêter Mortelle Adèle, car s'il y a bien une petite fille décidée à ne pas se laisser faire, c'est elle ! Entre ses inventions loufoques pour créer un monde qui lui ressemble et les règlements de compte dans la cour de récréation ou à la maison, une chose ne change pas : Adèle a toujours le temps pour une bêtise ou deux !
Dans ce huitième tome des Cahiers d'Esther, de Riad Sattouf, Esther est en première !
C'est bientôt le bac de franc?ais - AKA la condamnation à mort -, et Esther se pose des questions sur son avenir : pourquoi pas arrêter ses études en fait mdr ? Pour devenir libraire ? Vivre au milieu des livres ? Mais c?a paie moins qu'Instagrameuse il paraît, c'est chaud... En attendant, elle prépare le BAFA, mais tout ne se passe pas comme prévu non plus...
Toujours accompagnée de son amie d'enfance, Cassandre, sa queen, d'Eva qui organise des grosses teufs sans le dire à ses darons ; et de Léa, en couple avec un dealer (mais sensible dans le fond en fait), elle survit au lycée Royal.
C'est alors que Poutine, le dictateur chauve, attaque l'Ukraine, et c'est la guerre. Et si c?a nous arrivait ici en France aussi ?
«Il semblait que la colonisation n'avait été rien d'autre qu'un malentendu, une erreur dont les Français à présent se repentaient et que les Marocains faisaient semblant d'oublier.»Maroc, 1968 : tandis que Mathilde s'occupait du foyer, Amine est parvenu à faire de son domaine aride une entreprise florissante. Ils appartiennent désormais à une bourgeoisie qui prospère, fait la fête et croit en des lendemains heureux. Mais le retour de leur fille Aïcha, partie étudier en France, fait voler en éclats le glacis d'apparence qui figeait cette famille. Le modèle d'émancipation qu'ils croyaient incarner depuis l'indépendance n'est-il qu'une illusion ?Après Le pays des autres, Regardez-nous danser poursuit une fresque familiale vibrante d'émotions et de personnages inoubliables.
Avant, Gabriel faisait les quatre cents coups avec ses copains dans leur coin de paradis. Et puis l'harmonie familiale s'est disloquée en même temps que son « petit pays », le Burundi, ce bout d'Afrique centrale brutalement malmené par l'Histoire.
Plus tard, Gabriel fait revivre un monde à jamais perdu. Les battements de coeur et les souffles coupés, les pensées profondes et les rires déployés, le parfum de citronnelle, les termites les jours d'orage, les jacarandas en fleur... L'enfance, son infinie douceur, ses douleurs qui ne nous quittent jamais.
Un livre lumineux. Astrid de Larminat, Le Figaro.
Un très beau premier roman, déchirant et incandescent, qui force l'admiration. Yann Perreau, Les Inrockuptibles.
Gaby n'est pas un petit Africain, c'est un enfant du monde emporté par la fureur du destin. Notre hantise commune. Maria Malagardis, Libération.
PRIX GONCOURT DES LYCÉENS / PRIX DU ROMAN FNAC / PRIX DU PREMIER ROMAN