Sur une plage de Perpignan, le cadavre d'un homme décapité. Autour de lui dans le sable, des signes tracés interpellent une enquêtrice de la PJ qui vient d'être affectée dans le sud. Laurence Gueguen croyait pouvoir cacher son passé de docteur en psychologie, mais ses connaissances en symbolique et le lien qu'elle établit rapidement avec une divinité yoruba et d'autres meurtres similaires vont la mettre au centre d'une enquête que se partagent la PJ et les services secrets, car deux des victimes sont des Français. Les recherches s'orientent vers l'Argentine, où toutes les victimes occupaient des postes dans l'armement dans les années 80. Le cartésianisme de l'enquêtrice se heurte aux incohérences temporelles comme si Xangô, divinité yoruba de la foudre brouillait lui-même les pistes.
Yarnald Colom est journaliste et écrivain. Lorsqu'il accepte l'invitation de Valenti à faire une conférence sur ses polars devant la communauté catalane de Marseille, il ne peut pas imaginer les suites de sa rencontre avec le vieil homme qui, à la fin de
Surnommée la Pistolera par la presse des années 70, Antonia la jeune activiste et ses camarades des Brigades mettent tous les carabiniers d'Italie sur les dents. Contrainte de fuir son pays, la jeune fille se jette dans une carrière d'humanitaire au sein d'une congrégation religieuse. Mais la traque qu'organisent les deux officiers italiens qui la pistent est faite pour durer toujours. Dans sa cavale éffrenée, Antonia est tiraillée entre la force inaltérable de ses engagements, son amour pour son cousin Anselme, prêtre dont elle ne partage pas la foi, le devoir de garder le silence pour sa survie et l'impérieux besoin d'agir dans les pays qu'elle traverse. Au Rwanda, elle crie pour chasser les premiers fratricides. Il était une fois une lanceuse d'alerte, elle s'appelait Antonia.